Le délit de solidarité
Modérateur : Françoise T.
Re: Le délit de solidarité
Il paraît étrange que nous autres européens ayons intériorisé si facilement que l'Afrique puisse abandonner chez nous son trop plein de populations sans avoir à s'en expliquer et rendre des comptes.
Re: Le délit de solidarité
La solidarité nous mène au gouffre quand elle n'a pas de frontières.
Re: Le délit de solidarité
Immigration de masse. Une préfète dit certaines vérités :
" ..........Profils de ces familles déposant un dossier ? Des Albanais et des Géorgiens en majorité. « Des pays dits « sûrs » où en moyenne l’obtention de statut de réfugié est de l’ordre de 3 % », rappelle la préfète. « Les Géorgiens viennent en France pour se faire soigner et profiter - au bon sens du terme - du système de santé. On en voit qui sont très malades ».............. « Le juge dit que quand on est débouté du droit d’asile, on n’a pas le droit à un hébergement d’urgence.............Répondant aux exigences de fermeté du ministre Castaner, la représentante de l’État rappelle encore une fois le droit. « Quand on est débouté définitivement du droit d’asile, on a vocation à rejoindre son pays d’origine, a fortiori s’il est labellisé « sûr ». Faut-il faire croire à ces gens qu’ils ont un avenir en France ? » Mieux accueillir ceux qui ont un statut et renvoyer chez eux les déboutés du droit d’asile, voilà la réponse de la préfecture à la crise migratoire "
source : https://www.letelegramme.fr/_amp/409/12373409.php
" ..........Profils de ces familles déposant un dossier ? Des Albanais et des Géorgiens en majorité. « Des pays dits « sûrs » où en moyenne l’obtention de statut de réfugié est de l’ordre de 3 % », rappelle la préfète. « Les Géorgiens viennent en France pour se faire soigner et profiter - au bon sens du terme - du système de santé. On en voit qui sont très malades ».............. « Le juge dit que quand on est débouté du droit d’asile, on n’a pas le droit à un hébergement d’urgence.............Répondant aux exigences de fermeté du ministre Castaner, la représentante de l’État rappelle encore une fois le droit. « Quand on est débouté définitivement du droit d’asile, on a vocation à rejoindre son pays d’origine, a fortiori s’il est labellisé « sûr ». Faut-il faire croire à ces gens qu’ils ont un avenir en France ? » Mieux accueillir ceux qui ont un statut et renvoyer chez eux les déboutés du droit d’asile, voilà la réponse de la préfecture à la crise migratoire "
source : https://www.letelegramme.fr/_amp/409/12373409.php