Jean Gauci a écrit :Leur décision appartient à leur conscience, pas à la nôtre.
Oui, comme tout crime, le sang innocent retombe sur celui qui a tué et encombre de ténèbres sa conscience. Connaissant cela n'est-il pas du devoir du Chrétien de dire clairement qu'un problème ne se règle pas en tuant quelqu'un ? Ne faut-il pas empêcher cette pollution de conscience ? Ne faut-il pas libérer les femmes de ce poids, de ce "choix" abominable qu'on leur donne pour mieux vivre ?
Faut-il sourire et aimer devant un avortoir en laissant le crime à la conscience mal éclairée de personnes fragiles ? Je pense au contraire qu'il faut parler de l'horreur de l'avortement, du fait qu'il ne règle AUCUN problème, mais pire qu'il transforme des problèmes d'argent, de relation, de crainte du lendemain, en CRIME, en infanticide.
C'est absolument pitoyable et je me réjouis que la nouvelle génération catholique soit plus vigoureuse dans ses positions que celle qui a laisser faire ces horreurs pendant des décennies. Facile après de laisser ça sur la conscience des femmes...
L'avortement est un crime contre l'humanité, ce n'est pas un truc domestique, privé, cela impacte toute la société, c'est donc une réponse de toute la société qui doit être apportée et SURTOUT PAS laisser le choix du crime aux seules femmes fragilisées par les comportements odieux des beaux parents (pressions) , des compagnons ou des médias (justification)... D'abord en finir avec cette license sexuelle qui plonge en enfer des générations d'âmes mal affermies, cette sorte de "pression" qui impose que toute personne de plus de 16 ans soit un objet sexuel a disposition de "celui dont on est amoureux", ce manque de courage des aînés de dire la beauté de la chasteté et du respect de l'Amour noble, bref il y'a à faire...
Je pousserais même à dire que toute personne qui encourage à l'avortement (personnes qui actuellement bénéficient de subventions de l'état, via les organismes odieux du planning familial), soit poursuivie pour "complicité de meurtre" sur personnes fragilisée, y compris parents, beaux-parents, amis et quiconque par une attitude permissive laisse à penser que TUER un autre homme est une solution a un problème domestique.