S’il y a quelque chose qui ne change pas dans Le Pèlerin, c’est son esprit fait de mesure, de prudence, de bienveillance, de regards positifs, un esprit qui ne renie pas l’Evangile.
Voir le monde en le trouvant beau et aimable tout en regardant lucidement et courageusement tout ce qui blesse et salit l’humanité, le défi n’est pas simple. Le Pèlerin le relève avec bonheur. Merci aux journalistes pour cette bulle hebdomadaire d’oxygène.
Françoise T. : Merci Jean de votre fidélité et de votre amitié
